dimanche 15 novembre 2009

Route vers la Bolivie et Uyuni




























































le 30 octobre


Le camping car est réparé , on poursuit notre route vers la Bolivie, encore 550 km.


19h:on arrive enfin à la frontière .

De l'autre côté , notre première ville bolivienne:Villazon.


Le douanier nous a conseillé de dormir face à la police pour être tranquille.


Le 31 octobre


On part à pied visiter la ville.

Il y a des Boliviennes habillées avec des vêtements colorés:


plusieurs jupes, des pulls, une veste et une cape multicolore avec souvent un bébé dedans.


Au marché, on a acheté de tranches de pastèque et d'ananas.


Après on a pris la piste pour Uyuni, 300 km de piste!

On roule à 20/25 km/h pour ne pas abîmer le ccar.


Le paysage était superbe.


On a vu une dame qui faisait traverser son troupeau de chèvres dans une rivière presque asséchée.

Les chèvres sautaient pour ne pas se faire mouiller.


Après j'ai vu un garçon de mon âge qui rassemblait ses lamas.


Des fois on croisait loin de tout des personnes seules à pied.


on a traversé des petits villages très pauvres avec des fours en terre .


Les murs des maisons étaient en briques de terre.


le soir ,on a dormi à tupiza.


Le 1 er novembre


Encore de la piste et de superbes paysages:des cactus, des montagnes, des canyons, des vallées vertes avec au milieu des rivières, des lamas,des alpagas, des dunes de sable...















Des dames lavaient leur linge dans la riviere




Le soir, on s'est arrêté pour dormir à côté d'un groupe de lamas;

avec Morgane , j'ai essayé de les caresser..


par terre j'ai trouvé un collier de lama en laine multicolore

En rentrant au ccar, on s'est fait prendre dans une grosse tempête de sable.


Le soir, papa a fait des crêpes.

Les crêpes avaient du mal à cuire car on était haut en altitude (4000m).


Le 2 novembre


La piste s'améliore.

A 13 h on arrive enfin à Uyuni.


Au marché, on a acheté des tranches de pastèque et un plat typique avec du lama, des pommes de terre et du maïs.



Après, on est parti dans le salar d'Uyuni.

c'est le plus grand désert de sel du monde (12000 km2).

Sur le salar, on a vu des briques de sel:ce sont des ouvriers qui les taillent.





Comme il n'y avait personne, on s'est amusé avec Morgane à sculpter des lamas en sel avec le marteau et le tourne vis que papa nous avait prêtés.

On a roulé vite, car c'était tout plat et tout lisse, on était content après la piste.
















Mais l'embrayage a fumé, alors on s'est arrêté pour la nuit.



J





J'ai joué au foot avec papa.





















Papa a essayé de réparer mais il n'avait pas le bon outil.









On s'est amusé à faire des photos trucage.












































































































Le 3 novembre


On roule doucement et l'embrayage ne chauffe plus.






On va voir "l'isla Incahuasi", un gros rocher de 200 m de long recouvert de grands cactus hauts de 12 m.



Sur la route, on s'arrête pour voir "les yeux du désert", des trous avec de l'eau et de grosses bulles d'oxygène qui sortent de l'eau.








Un groupe de touristes français est venu nous voir, étonné de voir un ccar

français ici.











Après on s'est arrêté à côté d'un ancien hôtel de sel.





A midi, on est arrivé au drôle de rocher.

On est allé mangé dans le petit restaurant et on a vu deux français qui étaient venus en vacances chez nous en janvier!


Il y avait beaucoup de Français.






Le paysage était superbe:il y avait d'immenses cactus partout et tout autour, on voyait le salar tout blanc.



On s'est bien promené dessus




















cette petite montagne.


























A










16h, on est reparti.


Papa m'a laissé conduire pendant 12 km.

Je pouvais même accelérer mais je n'avais pas le droit de toucher l'embrayage.

Ca m'a beaucoup plu, ça faisait longtemps que je voulais essayer!






























A la sortie du salar, on s'est arrêté pour visiter un bel hôtel de sel tout neuf.


Dedans, il y avait des sculptures partout sur les murs en sel:des lamas, des flamants roses,des pumas.

A l'intérieur, c'était tout blanc car tout était en sel:les meubles, les cheminées, le sol, les lits...

Le soir on est retourné dormir au milieu du salar car avec Morgane on voulait jouer dehors sur le sel.
















Partout ça faisait des polygones qui se touchaient à l'infini:c'était étonnant.











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